Cette fondation a été créée à partir d'un fait vécu. Dans les premières conséquences reliées à l'utilisation importante des écrans, on constate des troubles de comportement et des changements d'attitude.
Les enfants de 0 à 2 ans devraient éviter toute exposition aux écrans, tandis que ceux de 3 à 5 ans se limiteraient à un maximum de 30 minutes par jour.
Fait à souligner que 60 % des parents ne supervisent pas suffisamment l’usage des écrans de leurs enfants, tandis que 75 % permettent la présence d’appareils technologiques dans les chambres à coucher.
Nos jeunes enfants rencontrent déjà des problèmes liés à un début de myopie.
Les enfants de 5 ans et moins qui utilisaient les écrans plus de deux heures par jour étaient cinq fois plus susceptibles de présenter des problèmes de comportement.
Nous avons beaucoup trop de jeunes inactifs en raison d'une
surconsommation d'écrans.
Dans un monde où tout s'accélère, l'utilisation croissante des écrans et des nouvelles formes de communication fragmentent constamment l'attention de notre cerveau. Cela constitue comme l'une des principales causes des problèmes de concentration.
Par où commencer?
Si l'on prends 30 minutes par jour, à montrer des choses à nos enfants, pour une période de 230 jours, on instaure et crée une base solide de lien parental et on change leurs vies à jamais…
À partir de 3 ans, juste le fait d'assigner graduellement des tâches
et des responsabilités avec positivité et dans le calme et la joie;
« Tu es capable ! Bravo ! Tu as réussi ! »
On édifie l'estime de soi.
Dire NON à nos enfants avec la raison du pourquoi on dit NON,
fortifie notre jeunesse.
On se doit en tant que société se responsabiliser à faire bouger nos jeunes et les initier à une pratique sportive, comme le fait si bien la Fondation Pierre Lavoie.
Contribuer à leur évolution en proposant un apprentissage de la méditation pour combattre le stress et l'anxiété.
« Pour une fête de Noël, j’offrais à ma jeune fille une tablette électronique. J’ai été drôlement étonné de constater de l’aisance à laquelle elle manipulait son écran. Mais plus le temps avançait, j’ai remarqué que ma fille développait un fort intérêt envers cette technologie, ce qui devenait à la limite un prolongement de sa personne.
« Pour une fête de Noël, j’offrais à ma jeune fille une tablette électronique. J’ai été drôlement étonné de constater de l’aisance à laquelle elle manipulait son écran. Mais plus le temps avançait, j’ai remarqué que ma fille développait un fort intérêt envers cette technologie, ce qui devenait à la limite un prolongement de sa personne. C’est à ce moment que j’ai commencé à m’inquiéter. Peu après, il y a eu des changements dans son comportement et son attitude. Le temps qu’elle prenait pour se nourrir était devenu écourté. Son intérêt pour les sports de plein air avait diminué. Certains de ses agissements étaient en train de se transformer. Je me suis donc mis à réfléchir et faire des recherches sur cette problématique. Par mon entourage, je sentais bien que je n’étais pas le seul à vivre ce fléau important. En écrivant ce guide, je voulais contribuer à ma façon afin d’aider la jeune famille à mieux superviser l’usage des écrans par les jeunes enfants, en vue d’instaurer une dynamique familiale où chacun assume son rôle et ses responsabilités.»
Francis Beaudoin,
fondateur,
Aide à la jeune famille envers le numérique
Créée en 2021, la fondation a vu le jour après l’écriture d’un guide familial, ayant pour objectif de proposer des pistes de solutions quant à l’usage des écrans devenu inquiétant chez les jeunes.
Elle contribue ainsi à instaurer une dynamique en milieu familial où chacun assume progressivement son rôle et ses responsabilités.
La mise en place d’un défi moins d'écrans à l’année pour offrir un encadrement familial de leur usage pour faciliter une dynamique intéressante.
Avec le soutien de nos partenaires, il y aura remise de certificat-cadeaux
auprès de la jeune famille.
Redonner, pour soutenir les enfants à la pratique d’un sport ou d’une activité culturelle dont ils ont vraiment l’intention et le rêve de pratiquer.
De s’éloigner de la dépendance aux écrans par une diversité d’apprentissages,
pour favoriser une meilleure autonomie.
Participer à guider les enfants vers un monde plus tangible que virtuel où ils trouveront un plaisir à assumer leurs rôles.
Québec –Québec-Canada